Nous espérons que nos cours aideront les collégiens et lycéens des pays francophones.
La dégradation de l'enseignement secondaire public en France nous alarme.
Que les responsables cessent de se raconter et de nous raconter des histoires.
Nous connaissions par exemple en 2013 un élève de Première filière technologie, à qui l'Education nationale a dûment décerné le Brevet à la fin de la Troisième, et qui
mais il a reçu le Brevet des collèges.
Un garçon charmant, pas bête, et intéressé par tout ce que nous lui apprenions.
Comme il n'accrochait pas à l'anglais, mais cependant s'intéressait à l'informatique, nous avons trouvé comment lui apprendre les deux : nous lui avons enseigné l'informatique en anglais. Ça a bien fonctionné : il a rapidement oublié que l'anglais l'ennuyait ; il a même au bout d'un moment oublié qu'on ne parlait pas dans sa langue maternelle ; et il a appris de l'anglais et de l'informatique. Bref l'anglais a été enseigné en tant qu'outil - approche que nous prônons aussi pour les maths, et pour toutes les matières.
Le ministère se demande gravement s'il faut garder la semaine de quatre jours ou bien repasser à quatre et demi ou cinq jours pour atteindre l'excellence dans l'éducation et le développement de nos enfants.
C'est comme le capitaine du Titanic qui serait en train de régler finement sa technique pour faire le point pendant que l'axe de son bateau fait déjà un angle de 50° avec la mer.
Cela nous consterne, même si ça présente l'avantage de permettre au eLearning de se développer vigoureusement.