Avec les informations certaines et les hypothèses sur les personnes photographiées.
ligne 1 | ||||
Dans ces notes, pour les femmes qui se sont mariées, le nom de jeune fille est toujours en premier, suivi du nom du mari en second. |
Il était le doyen de la faculté de Médecine de Montpellier. Eugène Fabry a épousé sa fille aînée, Jeanne Moitessier. |
Mermet connut à Marseille les frères Fabry, dont il eut certains peut-être comme élèves, et Antoine Cabannes. C'est le lien vraisemblable entre les trois familles. |
Alexandre-Christophe Mermet, professeur de physique à Marseille |
Fils de Jean Cabannes (5 janvier 1804, 2 mars 1880), boulanger et Jeanne-Marie Pédéguiraute (8.12.1812 à Tarbes, 19.4.1873), elle-même fille de Bernard Pedeguiraute, cabaretier, et Marie Lestrade. |
ligne 2 |
||||
Antoine Cabannes |
Antoine Cabannes |
Antoine Cabannes |
||
ligne 3 |
||||
C'est l'un des "cinq frères Fabry". Ce sont Auguste, Eugène, Louis, Charles et Pierre. |
Marie Estrangin, mère des cinq frères Fabry, Auguste, Eugène, Louis, Charles et Pierre |
photo c. 1930 |
|
Marie Jourdan-Cabannes était la femme d'Antoine Cabannes, et la mère de Jean le physicien |
ligne 4 |
||||
Hypothèse 1 : Peut-être le frère aîné d'Antoine. Ce serait alors Joseph (27 octobre 1835, 1916 Bernadets), boulanger à Tarbes. Hypothèse 2 : Peut-être aussi le père de Joseph, Marie-Bernarde et Antoine. Ce serait alors Jean Cabannes (5 janvier 1804, 2 mars 1880), boulanger à Tarbes. Et cela collerait avec la légende. L'homme a mettons 50 ans. Dans le premier cas la photo est de 1885; dans le second cas d'environ 1860. |
Jeanne Moitessier-Fabry était la fille d'Albert Moitessier (1833, 1889), doyen de la faculté de médecine de Montpellier. On lui a présenté Eugène quand celui-ci a été nommé professeur de mathématiques à Montpellier. |
photo circa 1927 |
Tableau représentant Antoine Cabannes |
Jean était malheureux d'avoir perdu sa soeur Lisette, alors il imposa à sa femme Marie que leur fille s'appelle Lisette (prénom que Marie n'aimait pas). |
ligne 5 |
||||
Il s'agit d'une photo dans le style des années 1880-1900. |
verso de la photo à gauche |
|
Marie et Jean Lagardère (Jean était le parrain de François Cabannes (1928, c. 1995) |
verso de la photo précédente |
ligne 6 |
||||
Anna et Joséphine Cabannes (voir généalogie cabannes pour détails) |
Lisette Cabannes, soeur de Jean et Albert (morte jeune) |
Marie et Jean Lagardère (on peut les voir plus âgés en 1928 au baptême de François Cabannes) |
C'était le parrain de François Cabannes. La marraine était Madeleine Fabry. |
Marie Jourdan-Cabannes, fille de Gran-Gran, mère de Jean, Albert et Lisette |
ligne 7 |
||||
Auguste Fabry, l'aîné des "cinq frères Fabry", né en 1855, était juriste, et a fait une partie de sa carrière à Tunis. |
verso de la précédente |
? |
? |
verso de la précédente |
ligne 8 |
||||
à gauche, Marie Jourdan-Cabannes, à droite, sans doute la même |
La femme au bras d'Eugène pourrait être sa femme Jeanne (morte c. 1933) mais on ne la reconnaît pas. |
Albert Cabannes (c. 1887, c. 1970), âgé d'environ 30 ans. Il fit une carrière de juriste. |
Anna Cabannes-Lagardère à droite |
quatre inconnus |
ligne 9 |
||||
???? |
sans doute Jamet, le beau-frère de Gran-Gran |
???? |
???? |
Et le Cabannes de Lima serait le frère aîné d'Antoine (voir généalogie cabannes pour détails) |
ligne 10 |
||||
Hypothèse : Joseph (27 octobre 1835, 1916 Bernadets), frère aîné d'Antoine (père du physicien) |
Hypothèse : Jeanne-Marie Pédéguiraute (8.12.1812 à Tarbes, 19.4.1873), femme de Jean le boulanger ((5 janvier 1804, 2 mars 1880), mère de Joseph, Marie-Bernarde et Antoine |
Note pour vous qui regardez ces photos: mettez des légendes sur toutes vos photos. |
Hypothèse : Marie-Bernarde (6 novembre 1838, 1915 Bernadets), appelée Maria. Soeur d'Antoine |
Hypothèse : Joseph, le frère aîné d'Antoine, serait allé à Lima quand il avait entre 30 et 40 ans. |
ligne 11 |
||||
La cousine un peu plus grande qu'Anna Cabannes-Lagardère |
Photo prise à San Francisco d'une femme, avec des traits indiens d'Amérique, liée certainement aux frères Cabannes de SF |
On trouve Jean et Joseph dans l'annuaire de San Francisco de 1859 |
???? |
|
ligne 12 |
||||
Jamet peut-être ? |
???? |
???? |
?? |
|
ligne 13 |
||||
?? |
4e image: cathédrale de Sens Antoine Cabannes avait été au début de sa carrière, quand il avait à peine plus de 20 ans, commis aux écritures du lycée impérial de Sens. On peut penser que cela explique la présence de cette photo dans un album de la famille Cabannes (qui provient à l'origine soit des Glycines, qui appartenaient à Jean Cabannes, le physicien, soit du Logisson qui appartenait à Albert Cabannes, son frère le juriste -- tous deux fils d'Antoine). source: https://education.persee.fr/doc/baip_1254-0714_1867_num_7_134_24276 |
Marie-Bernarde ? un bébé inconnu et Marie-Anne (14 décembre 1873, 1er décembre 1960 Bernadets), la cousine germaine, Anna, de Jean le physicien |
Hypothèse : Marie-Bernarde jeune |
? (cela pourrait être tante Bepa bébé, la petite soeur d'Anna) |
ligne 14 |
||||
Marie-Anne (14 décembre 1873, 1er décembre 1960 Bernadets), la cousine germaine, Anna, de Jean le physicien |
???? (en haut tante Bepa ?) |
Hypothèse 2 : en haut, ce sont à droite Jean Cabannes (1804, 1880) le boulanger, et à gauche sa femme Jeanne-Marie Pédéguiraute (1812, 1873) Sûr: en bas à gauche, Marie Jourdan-Cabannes (1857, 1946), femme d'Antoine; en bas à droite, Antoine (1844, 1912) économe de lycée. Ce sont les parents de Jean (1885, 1959), Albert et Lisette |
la mère de Jean le physicien (1885, 1959), Albert le juriste (c. 1887, c. 1970), et Lisette morte jeune |
Puis dans les années 1890, il a été nommé économe du lycée de Nice où ils sont allés vivre. Jean et Albert ont fait de brillantes études au lycée de Nice. (Pas d'infos sur Lisette.) |
ligne 15 |
||||
Hypothèse 2 : Sinon, comme dit plus haut, ce serait peut-être le père de Joseph, Marie-Bernarde et Antoine: Jean Cabannes (5 janvier 1804, 2 mars 1880). Et si la photo à droite est sa femme, ce serait Jeanne-Marie Pédéguiraute (8.12.1812 à Tarbes, 19.4.1873). Mais cela voudrait dire que la photo de la femme date d'environ 1860. Les deux hypothèses sont plausibles. |
Hypothèse 2 : Jeanne-Marie Pédéguiraute (1812, 1873), femme de Jean Cabannes, le boulanger, et mère de Joseph, Marie-Bernarde et Antoine. Cela voudrait dire que cette photo (15, 2) représente la même personne que celle (10, 2). Ci-dessus, elle aurait elle aurait environ 48 ans, la photo daterait de 1860. Sur la ligne 10 (col 2), elle aurait 60 ans, et la photo daterait d'environ 1872, un an avant sa mort. Les deux hypothèses sont plausibles. |
Ces deux images représentent la même personne. Il s'agit de Laurence Chetcuti-Mermet. |
Joseph-David est le père d'Alexandre-Christophe (1808, 1876), le professeur de physique à Marseille, qui connut les frères Fabry et Antoine Cabannes. Joseph-David, qui fit une carrière militaire, est connu au Canada comme poète. Joseph-David est rentré en France du Canada en 1815, et fut amer de ne pas être reçu en héros par le régime de Louis XVIII. Il écrivit bcp de lettres, en particulier à son fils aîné. Exemple: |
Justifications: La légende de la photo (55, 2) a ensuite été "corrigée" par l'ajout (avec l'écriture de Marie Fabry-Cabannes) "mère de Laurence Jourdan". C'est tout simplement faux. Du reste, la mère de Laurence Mermet-Jourdan n'était pas Laurence Chetcuti-Mermet, mais Justine Lagarde-Mermet (femme d'Alexandre Mermet, le prof de physique). Quand vous notez qqc pour la postérité, faites attention à ce que vous écrivez, car vous pouvez avec une erreur ou négligence semer la confusion pendant un siècle. |
ligne 16 |
||||
Alexandre-Christophe Mermet (1808, 1876), professeur de physique à Marseille |
vraisemblablement sa femme Justine Lagarde-Mermet. Elle était de Pau, où Alexandre a débuté sa carrière (il a fait Normale Sup). Ils se sont mariés vers 1834, et ont eu trois enfants:
|
une autre photo de Justine Lagarde-Mermet (la légende est incorrecte) |
Alexandre-Christophe Mermet |
Gran-Gran était d'une famille de militaires et scientifiques. Jourdan faisait du commerce entre Marseille et le Moyen-Orient. On a très peu d'informations sur lui. Il est mort avant le mariage de sa fille Marie en 1881 avec Antoine Cabannes. Daniel Cabannes (1922, 2015) dit qu'il serait mort en Égypte. |
ligne 17 |
||||
Ce serait la seconde fille de Gran-Gran |
C'est le troisième enfant d'Alexandre et Justine. Pour en savoir plus : éléments généalogiques Mermet Comme elle ressemble bcp à la photo 16.2, il y a un doute sur la photo 16.2. Une explication possible serait que Gran-Gran ressemblait bcp à sa mère. |
Elle a environ soixante ans sur cette photo. Elle daterait donc de 1900. C'est cohérent avec le vêtement. Gran-Gran était très bigotte. Elle habitait rue Consolat à Marseille. |
C'est le mari de la soeur de Gran-Gran. |
le même |
ligne 18 |
||||
Jean Cabannes (1885, 1959), physicien. Ici en costume de communiant. |
les trois autres sont inconnus du webmaster |
? |
???? |
Antoine Cabannes, père de Jean (le physicien), Albert (le juriste), et Lisette (morte vers 12 ans). |
ligne 19 |
||||
Antoine Cabannes (1844, 1912) |
le même |
???? |
? |
|
ligne 20 | ||||
Antoine Cabannes (1844, 1912) |
le même et trois inconnus |
Albert (c. 1887, c. 1970) et Jean (1885, 1959), les deux premiers enfants d'Antoine Cabannes et Marie Jourdan-Cabannes, photographiés à Limoges. |
les mêmes |
Je pense que c'est la Joséphine (1868, 1932), fille de Joseph, le frère aîné d'Antoine (le père du physicien). Je ne pense pas que ce soit la tante Bépa, petite soeur de Marie-Bernarde. On les voit toutes les deux sur cette photo de groupe à Bernadets. |
ligne 21 | ||||
? |
en bas à gauche Antoine Cette planche montrerait les deux frères (Joseph et Antoine) et leurs filles respectives (Joséphine et Lisette) |
Il épousa Marie-Rose Lamon (1831-1912) et devint boulanger comme son père. Il acheta le 8 juillet 1877 par folle enchère la maison du 2 rue de l'Orient (renommée, depuis la fin de la Première Guerre mondiale, "avenue de la Marne") qui joint la place du Marcadieu au pont sur l'Adour, et à la route vers l'est qui conduit à Bernadets. En 1868, il eut une fille Joséphine qui vécut toute sa vie célibataire au 2 rue de l'Orient et mourut en 1932. Il a peut-être eu aussi une première fille Marie (1864-1879), mal identifiée, qui est enterrée, selon la pierre tombale, dans le caveau Cabannes à Tarbes. Hypothèse 2 (la moins probable) : ça pourrait aussi être Jean Cabannes, le boulanger (1804, 1880). C'est ce que dit la légende hypothétique (provenant de mon oncle François qui a conservé tous les albums), mais elle n'est pas fiable. La deuxième hypothèse laisse non résolue la question : "qui est la personne de la photo ligne 10, col 2 ?". |
Il commença comme commis aux écritures de 3e classe, et monta les échelons. Il travailla dans de nombreux lycées en France (de tête, au moins Sens, Poitiers, Bordeaux, Bastia, Limoges). voir aussi persée https://education.persee.fr/doc/baip_1254-0714_1867_num_7_134_24276 Antoine avait 23 ans quand il quitta Sens pour Poitiers. Dans les années 1890, il fut enfin nommé Econome à Nice. On trouve des infos dans les numéros du Bulletin administratif de l'instruction publique et d'autres sources. |
? |
ligne 22 | ||||
sans doute Lisette, la soeur de Jean et Albert |
On les a tous vus, sauf en haut à droite |
En haut à gauche, Jean le physicien |
Photo prise à Limoges, c'est Jean le fils aîné d'Antoine Cabannes et Marie Jourdan |
verso de la photo précédente |
ligne 23 | ||||
???? |
??? |
Marie Lagardère, Jean Lagardère, Jean Cabannes, Anna Cabannes (1873, 1er décembre 1960 ), la mère de Marie et Jean Lagardère |
Jean Cabannes (1885, 1959), physicien |
Anna Cabannes-Lagardère |
ligne 24 | ||||
à vous de jouer |
sans doute Albert, le frère du précédent |
les deux ensemble |
Marie Moitessier, soeur de Jeanne Moitessier, pour plus de détail : note généalogique Moitessier |
photo manquante |
ligne 25 | ||||
photo manquante |
Eugène et Louis étaient frères Eugène et Jeanne eurent six enfants: Marie-Louise, Hélène, Marie, Georges, Madeleine et Albert. Photo de groupe sur la terrasse de la villa les Pins C'était la villa d'Eugène Fabry et Jeanne Moitessier. |
|
C'est le vieux monsieur au milieu de cette photo prise chemin de Sorba prise vers 1930 au vu de l'âge approximatif de Lisette, Daniel et Henri. |
|
ligne 26 | ||||
Louis Fabry, l'un des "cinq frères Fabry" (les cinq enfants de Charles Fabry "senior" et Marie Estrangin) |
Généalogie Moitessier 1 établie par Germaine Moitessier-Hugues le 22 mars 1936 |
Celle sans légende, c'est sans doute Marie. |
Fit une carrière de militaire. Grand-père du navigateur solitaire. |
Joseph Moitessier, petit-frère de mon arrière-grand-mère Jeanne Moitessier |
ligne 27 | ||||
Albert Moitessier (1833, 1889), doyen de la fac de médecine de Montpellier |
Les enfants d'Albert Moitessier et Louise Peytal furent donc élevés par la tante Louise, la soeur d'Albert Moitessier. Photo de groupe en 1868 1 Émile, c'est Émile Isemberg, d'origine allemande, mari d'Élisa, gros importateur de bois russe, couple très aisé à Sète |
fille du doyen à gauche et de Louise Peytal |
fille aînée du doyen à gauche et de Louise Peytal |
fils du doyen à gauche et de Louise Peytal |
ligne 28 | ||||
C'était le fils aîné du facteur d'orgues, lequel était cousin germain avec le mari de "la belle Madame Moitessier" |
le même plus âgé |
Habitait place de la Corderie à Marseille (près des anciens arsenaux). Fit une carrière dans la banque. Fit de mauvaises affaires et vécut la fin de sa vie moins prospère. Mari de Marie Estrangin. |
Ses frères Louis et Charles y étudièrent aussi. |
fils aîné de Charles Fabry "senior" et de Marie Estrangin. Fit une carrière de juriste. Avait une belle adresse rue St-Florentin, Paris 8e. |
ligne 29 | ||||
Madeleine était une des filles d'Eugène Fabry et Jeanne Moitessier |
sans doute la même |
Daniel Cabannes (1922, 2014), fils aîné de Jean Cabannes et Marie Fabry-Cabannes |
Les frères Léon Moitessier et Albert Moitessier jouant aux échecs. Photo c. 1870. |
Elle épousa un Hugues, et eut parmi ses enfants Michel Hugues (né vers 1929, mort vers 2020 ou avant) |
ligne 30 | ||||
Il prit comme assistant Jean Cabannes dans son labo à Marseille, vers 1910. Les frères Fabry connaissaient Alexandre-Christophe Mermet qui avait peut-être eu certains comme élèves au lycée. Mermet connaissait Antoine Cabannes. C'est ainsi, sans doute, que Charles Fabry entra en contact avec Jean Cabannes (i.e. par le père de ce dernier) |
On voit assis Henri Cabannes, Ginette Fabry-Penel, sans doute Lisette Cabannes-Tochon, et Daniel Cabannes |
Les deux filles de Pierre Fabry (1880, c. 1966). La grande est Marthe, née vers 1911. La petite est Ginette, née en 1919. |
verso de la carte |
Thérèse Moitessier-Brinon, fille de Paul Moitessier, le dernier frère de Jeanne Moitessier. |
ligne 31 | ||||
verso de la photo précédente |
Ginette (1919, c. 1974) et son père, Pierre Fabry, le dernier des cinq frères Fabry |
Pierre Fabry (1880, c. 1966) |
Ginette |
Marie Fabry-Cabannes |
ligne 32 | ||||
La même vers 1972 : Marie Fabry-Cabannes dans son appartement à Sceaux (photo par AC) |
tante Madeleine, Lisette, une femme d'un frère Fabry (sans doute), Daniel, Louis Fabry, Henri, Jean Cabannes, une autre femme d'un frère Fabry (sans doute), Marie Fabry-Cabannes (sans doute), Eugène Fabry (qui aimait toujours être de profil sur les photos) |
Marie Fabry (1983, c. 1976) au 3e rang, 3e à partir de la droite |
verso de la précédente |
|
ligne 33 | ||||
verso de la photo précédente |
On reconnaît debout à gauche, la tante Louise qui éleva les enfants de son frère Albert après la mort de Louise Peytal. "Elle n'était pas commode", disaient ceux-ci. À droite sur le banc, on reconnaît Joseph, Jeanne, et, debout derrière, Marie. |
Albert Cabannes (c. 1887, c. 1970) |
inconnue (de moi) |
voir légende en bas à droite (banlieue de Marseille) |
ligne 34 | ||||
Bernadets, Marie (sans doute Lagardère), 1906 |
même photo |
|||
ligne 35 | ||||
carte postale, Tarentaise |
verso (carte adressée à Mme Antoine Cabannes) |
Alpes, Pralognan |
verso (carte adressée à Mme Antoine Cabannes) |
carte postale |
ligne 36 | ||||
verso de la carte précédente |
Le Col de la Vanoise |
|||
ligne 37 | ||||
verso de la carte précédente, Refuge de la Vanoise, 1910 |
Brides-les-Bains |
Chambéry |
||
ligne 38 | ||||
verso de la carte précédente |
Jean Cabannes à l'École normale supérieure (où avait étudié son ancêtre Alexandre-Christophe Mermet) |
idem |
||
ligne 39 | ||||
sans doute Jean Cabannes à l'ENS |
ENS |
Jean Cabannes était de la promo 1906 |
ENS |
|
ligne 40 | ||||
Il était militaire scientifique, détectant des objets et appareils ennemis par des techniques sonores |
||||
ligne 41 | ||||
Marie Jourdan-Cabannes |
Il a fait sept ans sous les drapeaux, de 1914 à 1921. |
Ruines de la cathédrale d'Albert, 1915 |
||
ligne 42 | ||||
détail |
Ils eurent un fils, Pierre, né en 1920, mort vers 1945 |
Marie Jourdan |
Il s'agit d'Albert Cabannes, petit frère de Jean Cabannes, le physicien. |
? |
ligne 43 | ||||
Jean, 1918 |
à droite, avec une barbe, sans doute Gaston Bachelard |
calanque de Sormiou, et photos scientifiques |
Famille d'Eugène Fabry et Jeanne Moitessier |
|
ligne 44 | ||||
Antoine Cabannes (1844, 1912) c. 1870 |
le même |
E. Prunet |
Bonnecarrère |
Antoine Cabannes, c. 1895 ou 1900 |
ligne 45 | ||||
Alexandre-Christophe Mermet (1808, 1876), professeur de physique, est donc bien l'arrière-grand-père de Jean Cabannes, le physicien |
Gran-Gran avait un beau-frère nommé Jacques Jamet (c'est peut-être le même) |
Louise a épousé Jamet |
||
ligne 46 | ||||
la mère de Laurence Jourdan ne s'appelait pas Laurence Mermet, mais Justine Lagarde il s'agit de Laurence Chetcuti-Mermet i.e. la première légende est correcte, si Laurence Chetcuti-Mermet n'est appelée que par son nom de femme de mariée |
|
Jean Cabannes, 24 avril 1886 |
Albert Cabannes, petit frère de Jean |
Jean Cabannes (1885, 1959) |
ligne 47 | ||||
Albert Cabannes (c. 1887, c. 1970) |
de gauche à droite autour de la table: |
? |
||
ligne 48 | ||||
Le Caire, 1935 |
Le Caire, 1935 |
Athènes |
André Moitessier est un fils de Georges
|
|
ligne 49 | ||||
à gauche on voit deux filles d'Eugène: Hélène et Madeleine |
à gauche Eugène Fabry, derrière lui, sa fille Madeleine |
La Fauconnière derrière la Pointe, baie des Lecques |
||
ligne 50 | ||||
La Madrague, baie des Lecques |
La maison du milieu est "le Mirador" |
Charles Fabry |
devant la villa Les Pins (remplacée par "le palais des glaces") et la villa les Lauriers-Roses (qui existe toujours) |
idem |
ligne 51 | ||||
? |
? (peut-être Albert Fabry à gauche) |
peut-être port d'Alon |
idem |
premer rang de gauche à droite: Hélène, son oncle Auguste Fabry, Albert, ma grand-mère Marie accoudée, peut-être Germaine Fabry le bras pendant : ? derrière : Henri Fabry (fils d'Auguste) femme d'Auguste (Marie de Cherrier), Madeleine Fabry, ?, Jeanne Moitessier, George Fabry, Eugène (de profil) circa 1922 |
ligne 52 | ||||
Marie Fabry-Cabannes |
? |
? |
en haut, peut-être Marie Fabry-Cabannes |
Canada |
ligne 53 | ||||
Canada |
Elle a rajouté des légendes aux photos dans les albums provenant de la famille de son mari. Les Cabannes et surtout les Mermet avaient la fâcheuse habitude de ne pas mettre de légende aux photos -- car évidemment ils savaient qui était qui. Mais par exemple, allez savoir qui est qui sur cette photo du baptême de François en 1928. Marie n'a pas toujours eu la plume heureuse avec ses légendes. On imagine que son mari (ci-dessous) considérait ces questions sans intérêt, au milieu de ses cornues dans son laboratoire. |
peut-être Joseph, le grand frère d'Antoine, ou alors leur père Jean le boulanger. |
||
ligne 54 | ||||
Noter que la légende "Laurence Mermet" est cohérente avec l'hypothèse qu'il s'agit de Laurence Chetcuti-Mermet, femme de Joseph-David Mermet. En revanche, cette Laurence Chetcuti-Mermet n'était pas la mère de Laurence Mermet-Jourdan. La seule autre personne, dans la famille, qu'on peut appeler Laurence Mermet (si on utilise son nom de jeune fille) est Gran-Gran (photo à droite). Et la photo ci-dessus n'est clairement pas elle. La deuxième légende, de l'écriture de Marie Fabry-Cabannes, est donc non seulement erronée mais impossible. |
La légende est correcte (y compris celle rajoutée par Marie Fabry-Cabannes). Il s'agit de Laurence Mermet-Jourdan (1839, 1929), alias Gran-Gran. Gran-Gran est - femme d'Émile Jourdan (une femme de la classe militaire/scientifique épousant un commerçant (!) ça évoque une châtelaine épousant un riche roturier -- du reste Jourdan disparaîtra vite du dessin) - mère de Marie Jourdan-Cabannes (elle-même femme d'Antoine) |
Jean Cabannes, le physicien, en 1915. Il a trente ans sur cette photo. Il s'est marié avec Marie Fabry, fille d'Eugène Fabry et Jeanne Moitessier, en 1921. Elle avait alors 28 ans. Photo quand ils étaient fiancés, ou jeunes mariés, à Mazargues en 1921. |
||
ligne 55 | ||||
L'hypothèse la plus plausible, compte-tenu des élémentes dont on dispose (noms, dates, emplacements sur les albums) est que c'est Justine Lagarde-Mermet, femme d'Alexandre, le prof de physique, et mère de Laurence Mermet-Jourdan, aka Gran Gran. |
Sans doute la même personne qu'à gauche. Il s'agit donc aussi de la bru de Laurence née Chetcuti épouse de Joseph-David Mermet. (colonne 5) |
|||
ligne 56 | ||||
verso de la carte montrant le col de la Vanoise (ligne 2, colonne 5) |
Page établie par A. C.
Toute information supplémentaire, provenant de reconnaissance faciale, d'analyse génétique, de données généalogiques, ou d'autres sources, est bienvenue. Contact